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Le bien-être au travail

by Laurent Gheller |

Le bien-être au travail est un sujet qui nous touche tous de près ou de loin.

C’est malheureusement un thème qui n’est pas suffisamment abordé, le bien-être n’arrivant pas de loin pas en tête des préoccupations des entreprises, qui se concentrent plus sur le rendement que sur la santé de ses employés. Et pourtant, un collaborateur en équilibre et heureux représente un capital humain apportant une réelle valeur à l’organisation qui l’emploie.

Quel constat en tirer?

Partant de ce constat, et dans une optique de reprise de pouvoir, il est primordial d’être dans une démarche proactive et préventive de son propre bien-être sans attendre que l’entreprise qui nous embauche le fasse. Car finalement, si je vais bien, c’est non seulement mon entourage professionnel qui en bénéficie, mais aussi mes proches et ma famille, envers qui j’aurais un rayonnement forcément plus positif que si je ne prenais pas soin de moi.

Pourquoi se concentrer uniquement sur le travail?

On pourrait bien entendu tout aussi bien parler de bien-être dans notre vie privée, cependant, j’ai décidé d’axer cet article sur une activité, le travail, qui nous occupe une bonne partie de notre vie, et qui peut donc influencer tant positivement que négativement le reste de notre vie.

Les entreprises qui prennent activement en compte le bien-être de leurs collaborateurs sont encore aujourd’hui en grande minorité ; celles qui favorisent une éducation à la gestion émotionnelle, qui mettent en avant l’écoute de soi, qui permettent et incitent l’expression en toute sécurité de ce qui peut plaire et surtout déplaire.

Les études le montrent, comme celles de promotion Santé Suisse, l’épuisement émotionnel au sein des entreprises a augmenté ces dernières années, le stress élevé reste constant.

Les conséquences de ce mal-être

On peut constater ce mal-être évident, à travers un taux d’absentéisme qui augmente d’année en année, des conséquences de plus en plus nombreuses en lien à la santé, comme le nombre de burn-out en forte croissance, le pourcentage élevé de collaborateurs présentant un taux de stress élevé, les dépressions liées à l’environnement de travail, et j’en passe.

Bien entendu, un individu qui subit un burn-out, ou qui est déprimé par son travail, ou fortement stressé par son activité professionnelle, n’arrivera pas chez lui le soir de bonne humeur, avec une bonne énergie ou une vibration haute, ce qui aura forcément un effet négatif sur son environnement.

Alors comment peut-on prendre soin de soi dans un environnement professionnel, sans attendre que notre employeur le fasse ?

Quelques éléments à prendre en compte pour aller mieux

Si on me demandait ce que je ferais en premier, je répondrai sans hésiter : prendre le temps d’identifier ses propres besoins ainsi que ses limites. Car tant que je ne connais pas mes besoins, le risque, c’est que je laisse trop s’approcher les gens de moi lorsque je suis de bonne humeur, avec comme conséquences possibles des abus de toute sorte, ou au contraire si je mets trop de barrières lorsque je suis de mauvaise humeur, dans ce cas-là les conséquences seraient de faire fuir les gens.

En connaissant ses propres besoins, on est plus à même de prendre des décisions facilement et rapidement, de mettre des limites, et de s’exprimer de manière plus directe sur ce qui nous convient ou ne nous convient pas.

Une deuxième chose importante à mes yeux, qui peut paraître évidente, alors que cela ne l’est pas, c’est de prendre le temps de respirer, de faire des pauses, actives, afin de se régénérer et de reprendre son souffle. Car souvent, de part un manque d’éducation au niveau de nos fonctions vitales, comme la respiration par exemple, nous avons tendance, dans un environnement stressant, à respirer uniquement avec la partie haute de nos poumons, ce qui a comme conséquence de ne pas apporter suffisamment d’oxygène à nos organes.

Durant ces pauses actives (1 à 2 le matin, 1 à 2 l’après-midi), vous allez profiter pour bien vous oxygéner, en pratiquant par exemple la cohérence cardiaque sur quatre temps : j’inspire quatre temps par le nez, et j’expire quatre temps par la bouche, en gonflant bien le ventre, et en le dégonflant ensuite complétement.

Et finalement, peut-être le plus important, c’est d’être honnête avec soi : est-ce que je suis heureux dans ce que je fais ? Le cas échéant, il est important de prendre conscience que nous ne sommes pas venus sur terre pour être malheureux 8 heures par jour 5 jours sur 7. Si c’est le cas, on peut tous s’accorder sur le fait que c’est un gâchis.

Il existe à ce sujet de très bons livres, et documentaires vidéos. Recherchez le terme IKIGAI, et vous trouverez ce concept et méthode japonaise qui permet de trouver sa raison d’être.

Pour terminer, mon invitation est de ne pas attendre que l’on prenne soin de vous pour le faire vous-même.

Alors faites-le sans plus attendre.

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